LA REVOLUTION FRANÇAISE
LA REVOLUTION FRANÇAISE
DANS LE CADRE DU BICENTENAIRE
Exposition «A Marat, la Révolution française»
A POLE NORD - BRUXELLES
Coordination : Charlotte Goëtz-Nothomb et Jacques De Cock
Graphisme: Nathalie Witvrouwen
Deux montages audio-visuels
"La Révolution est terminée" et "David, le Serment et la Mort"
Visites guidées pour les groupes
Présentation des activités de POLE NORD et du Club d’Etudes sur la Révolution française de Bruxelles
A LA GRANDE HALLE DE LA VILLETTE - PARIS STAND NORD-PAS-DE-CALAIS
Conférence de presse
«Les manifestations belges pour le bicentenaire de la Révolution française»
AU CENTRE INTERNATIONAL JACQUES BREL - PASSAGE 44 - BRUXELLES
Coordination : POLE NORD asbl et Club d’Etudes sur la Révolution française
Attaché de presse: Quentin Pirlot
Projection des deux montages audio-visuels
"La Révolution est terminée" et "David, le Serment et la Mort"
A LA GALERIE DE LA CGER - BRUXELLES
Dans le cadre de l’exposition
«L’Héritage de la Révolution française»
Pages spéciales du journal Le Soir - BELGIQUE
Une équipe de journalistes du journal Le Soir, Claude de Groulart, Jean Rebuffat et Jacques Van Solinge prennent contact avec le Club (CERF) pour établir une collaboration en vue de la réalisation des pages que ce journal consacrera à la période révolutionnaire tout au long de l’année 1989.
Edition de «La Gazette de la Révolution française»
Les pages parues dans le journal Le Soir en 1989 sont ensuite éditées sous forme de livre.
La postface de cette Gazette sera rédigée par Jacques De Cock et Charlotte Goëtz-Nothomb, membres du Club et administrateurs de POLE NORD.
Exposition «Marat en deçà de la légende»
BIBLIOTHEQUE PUBLIQUE ET UNIVERSITAIRE
NEUCHATEL (SUISSE)
A l’occasion du bicentenaire de la mort de Marat,
né à Boudry
Coordination
Michel Schlup, Charlotte Goëtz-Nothomb et Jacques De Cock
Graphisme: Nathalie Witvrouwen et André Frehner
Pour tous publics - Présentation audio-visuelle
Deux montages audio-visuels
"La Révolution est terminée" et "David, le Serment et la Mort"
Le numéro 39 (automne 1993) de la
Nouvelle Revue Neuchâteloise,
intitulé «Marat en deçà de la légende»
peut être commandé au secretariat.bpu@unine.ch
Spectacle: «L’Ami du Peuple»
Mise en scène : Michel Guillou
Avec Marc De Roy (Marat),
Claude Flagel (le chanteur à la vielle), Isabelle Kerckhove (la harpiste)
Sélection, adaptation et présentation des textes
Charlotte Goëtz-Nothomb
Scénographie
Christian Guilmin
Production
Jacques De Cock
1989-1990 : Belgique et France - Théâtres et centres culturels
Le spectacle est présenté pour la première fois au Centre International Jacques Brel à Bruxelles.
Ensuite, il part en tournée à Cluny, Saint-Ouen, Roubaix, Mons, Nivelles, Tubize, Marly, Saint-Dizier, Braine-l’Alleud et Liège.
Trois séances exceptionnelles ont aussi lieu à l’Espace Théodore Verhaegen de l’Université Libre de Bruxelles.
Un «Chantier Marat 2» reprend textes et chansons du spectacle.
Ces documents peuvent être sollicités via le mail: charlotte.goetznothomb@gmail.com
Photos
L’adaptatrice des textes pour le spectacle: Charlotte Goëtz-Nothomb
Le metteur en scène: Michel Guillou
Note d’intention de l’adaptatrice
La parole de Marat possède un caractère intrinsèquement théâtral.
Dans la Révolution, Marat est à la fois un individu isolé et un homme au centre des événements, en constant dialogue avec le peuple français.
Il a noué avec lui une relation passionnelle, forte, drue et véhémente, désolée aussi. Avec sa plume, ses journaux, Marat joue la Révolution comme on joue sa vie. Il la rythme, la ponctue, la met en question. Tantôt, il monologue, pesant ses arguments, cherchant la formule qui fera mouche, se coulant dans la peau de son adversaire, tantôt il s’adresse en direct au peuple. Il tempête, il supplie, s’exaspère. Mais aussi - on l’oublie trop souvent - il est là, calme dans la tempête, maîtrisé et fin pédagogue, drôle et désinvolte aussi.
L’action se déroule dans l’ambiance d’un univers qui prend eau de toutes parts - la métaphore du radeau - mais où, en même temps, des circonstances imprévues proposent à l’action des hommes concrets l’opportunité de saisir la liberté ou le risque de la perdre à nouveau.
Si la forme monologue était défendable en se situant au seul niveau du personnage inclassable qu’est Marat, elle se serait révélée réductrice quant à la constante relation de Marat à l’élément «public». Pour l’introduire, le metteur en scène a choisi une médiation qui suscite un troisième ressort de théâtralité, l’intervention chantée, si vivante à l’époque.
A l’occasion de tout événement, le peuple chantait, employant pour ce faire des airs connus. Ces chansons, ici servies par Claude Flagel et sa vielle et soutenues par l’accompagnement à la harpe, instrument alors populaire, permettent d’assumer la vox populi et de montrer le caractère burlesque des situations, autre articulation importante.